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28 octobre 2013, par Jean-Hugues Berrou
Des urbains de plus en plus nombreux, des terres cultivables de plus en plus rares… La logique projective veut que nous nous mettions à cultiver nos villes — parce que nous n’aurons bientôt plus trop le choix. Les avantages sont évidents : pas ou peu de transports, donc moins de pollution mais aussi la possibilité de cultiver des variétés plus fragiles. Des fruits et légumes cueillis à maturité, et donc plus savoureux, plus complets nutritivement. Des enfants qui sauraient comment pousse une tomate, à (...)