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31 août 2012, par Vittorio Frigerio
Quatrième jour
Il se retourna lentement pour se remettre sur le dos. La moitié droite de sa cage thoracique aurait très bien pu être enfoncée, à en juger par les élancements qui la perçaient. Sur le dos, cela allait nettement mieux. Seulement, il ne pouvait pas rester longtemps sans bouger et, dès qu’il essayait une autre position, il commençait rapidement à ressentir des douleurs un peu partout.
Il se secoua enfin, en poussant un gémissement excédé, et se mit péniblement debout. Le temps de se (...)