En réponse à :
26 septembre 2002, par Robert Louis Stevenson
A Marcel Schwob
Union Club, Sydney, 19 août 1890
Mon cher Schwob,
Mais alors vous avez tous les bonheurs, vous ! Quelque chose de plus sur Villon, cela paraît incroyable ; quand ce sera mis en ordre, je vous prie, envoyez-le-moi. Vous désirez traduire la Flèche noire ! Cher Monsieur, la présente vous y autorise ; mais je vous avertis que je n’aime pas cet ouvrage. Ah ! vous qui connaissez si bien les deux langues et qui avez du goût et des lettres, si vous vouliez seulement avoir la fantaisie (...)