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11 décembre 2009, par Nicolas Boldych
Du train j’aperçois des maisonnettes de briques qui à demi enfoncées dans la terre, la terre verglacée ou sautillent quelques corneilles que le froid rend ivres, forment un tableau à la Brueghel, déserté pour l’occasion par ces personnages dodus aux joues roses et aux brailles généreuses ; puis de maigres immeuble aux balcons en fer forgé et aux toits noirs de suie, épaules contre épaules, sortent courageusement leur tête de cette brume bleutée qui monte de la terre comme une mer laiteuse et c’est (...)