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En réponse à :
30 janvier 2010 01:11
Terrible dilemme : pour le lecteur, l’écrivain est-il celui qui ne publie pas, celui qui échappe à la "victoire" (sic) commerciale ? Ne suis-je pas ainsi complice d’une masturbation, d’un plaisir solitaire ? Ne puis-je apporter ce surcroit de jouissance du lecteur à l’auteur ? Vivement que les livres soient réservés aux bibliotheques publiques et leurs auteurs triomphants comblés d’honneurs publics !