En réponse à :
27 décembre 2010, par Ernest du Laurens de la Barre
Conte
I
Les maisons isolées sur les routes presque abandonnées qui traversent les montagnes, maisons trop nombreuses encore pour le bonheur des paotred-kaled (durs garçons) de la Basse-Bretagne, tristes cabanes qu’une lourde vapeur de cidre environne et dont un fagot de gui orne toujours la façade lézardée ; ces maisons-là, vous en conviendrez, sont bien nommées, trop bien qualifiées par ces mots : chapel an Diaoul, chapelle du Diable.
Hélas ! il n’est que trop vrai, nos paysans bretons y font de (...)