En réponse à :
24 décembre 2010, par Albert Robida,
Octave Uzanne
Ce fut, il y a deux ans environ, à Londres, que cette question de la fin des Livres et de leur complète transformation fut agitée en un petit groupe de Bibliophiles et d’érudits, au cours d’une soirée mémorable dont le souvenir restera sûrement gravé dans la mémoire de chacun des assistants.
Nous nous étions rencontrés, ce soir-là, — qui se trouvait être un des vendredis scientifiques de la Royale Institution, — à la conférence de sir William Thompson, l’éminent physicien anglais, professeur à (...)