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3 juin 2013, par Juliette Delobel
L’imaginaire extrême-oriental du théâtre français entre 1900 et 1931 est conforme au regard porté par la société française sur cette région : étonnement, admiration et défiance se côtoient. L’étranger reste un Autre et les pièces proposées permettent aux spectateurs de se définir par rapport à lui. La représentation de l’Extrême-Orient au théâtre présente-t-elle toutefois une spécificité ? Cette représentation perpétue encore, au début du XXème siècle, une image innocente, des décors d’estampes et des personnages (...)