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21 septembre 2013, par Joseph Nasr
Entre histoire et devenir, violence du choc et cruelle émergence, entre « faire-être » et délaissé entre oubli et anamnèse, entre jouissance et nostalgie de la perte, cet interstice de la ruine, cet écartèlement dramatique de l’être en son temps (que saisit ce texte) dérangent à peine. Tant notre imaginaire de la Boite de Pandore sans cesse s’en réjouit. Il laisse là encore sourdre l’entraperçu d’une prise esthétique, cénesthésie d’un « refoulé » anthropologique et de sa fluence mortelle. Cette lecture de la (...)