En réponse à :
20 octobre 2013, par Nadejda Tolokonnikova
Hier, vendredi 11 octobre, on a permis à mon avocat de me voir, pour la première fois depuis deux semaines. Jusque-là, je me trouvais entièrement coupée de toute information, d’abord dans le camp de correction n°14, puis dans l’hôpital pénitentiaire n°21. Les médecins ne m’avaient pas interdit d’avoir des contacts avec d’autres personnes, comme le prétend le FSIN (Service Fédéral d’accomplissement des peines), puisque, pendant tout ce temps, j’ai eu des contacts avec des collaborateurs de ces institutions. (...)