En réponse à :
17 novembre 2014, par Bernard Pasobrola
La notion de « rupture historique » ou de « dépassement » dialectique induit une conception du changement social dont la révolution française serait l’archétype. Il me paraît intéressant d’examiner à la lumière de la notion bergsonienne de spatialisation du temps la question de la continuité et de la discontinuité historiques. Faut-il appréhender l’histoire sous un angle évolutionniste et continuiste, ou bien sous l’angle des ruptures et de la discontinuité, voire du dépassement ? Ou encore sous tous ces (...)