En réponse à :
2 mars 2015, par Nicolas Boldych
Posez votre machine Madame Joubard, là devant le poster, nous allons commencer.
Je pose Rotor ici Monsieur Georges ?
Oui, devant Indra.
C’est qu’il est lourd.
Ils sont lourds quand ils sont « débranchés », mais je vous laisse faire, c’est votre créature.
Je dois y aller bien délicatement.
Lâchez la nuque, laissez tomber la tête, ayez confiance.
Comme elle est pesante !
Ecartez-vous maintenant ! Nous allons commencer par les yeux. C’est toujours par là qu’il faut attaquer, c’est leur point (...)