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15 septembre 2015, par Mohamed Kacimi
« Quand on évoque le nom de Boumédiène devant des intellectuels de gauche algériens, beaucoup vous répondent en larmes : « Ah quelle époque, c’était le temps de la cinémathèque, du Coq Hardi, de la Brasse, du Milk Bar et des Blacks Panthers ». Pour vous achever, ils vous sortent la formule « Alger était la Mecque des révolutionnaires ». C’était la Mecque tout court, et encore ! »
Mohamed Kacimi, « Les folles nuits d’Alger », TGV Bruxelles-Paris. 25 Juin 2015. (choix de la rédaction)
Où l’on découvre que (...)