En réponse à :
4 décembre 2016, par Patrick Cockburn,
Louise Desrenards (traduction de l’anglais au français)
« Il est trop dangereux pour les journalistes d’opérer dans les zones contrôlées par les rebelles d’Alep et de Mossoul ; mais il y a une soif énorme de nouvelles du Moyen-Orient, c’est dire la tentation pour les médias de créditer l’information obtenue en seconde main. »
(Patrick Cockburn, « This is why everything you’ve read about the wars in Syria and Iraq could be wrong », à Beyrouth, The Independent, le vendredi 2 décembre 2016).
Ce qui suit est une traduction de l’article cité.
L’armée irakienne, (...)