En réponse à :
12 novembre 2004, par Alexandre Chollier
Une ville vous touche en plein cœur et vous ne savez pourquoi. Des jours passent, des semaines aussi et c’est toujours l’incompréhension (incompréhension bariolée d’innocence) au fond de vous. Et puis un jour, au détour d’une rue, une de ces rues rusées dont le vieux Lisbonne est si prodigue mais si peu disert, vous tombez nez à nez avec votre propre regard sur la ville, vous découvrez contre le mur l’empreinte, la part d’ombre déposée par un être de chair ; autrement dit, vos propres traces. Pegadas. (...)