En réponse à :
26 février 2011, par Charles Asselineau
I
LE CAS DE CONSCIENCE
... Oui... l’Enfer ! N’est-ce pas toujours là qu’il faut en venir, tôt ou tard, dans cette vie ou dans l’autre, ô vous tous qui avez placé vos joies dans des voluptés inconnues au vulgaire ?
L’amoureux a l’indifférence ; le joueur, la pauvreté ; l’ambitieux, l’impuissance ; l’artiste, l’obscurité et l’envie ; le paresseux, la famine ; l’avare, la ruine, et le gourmand, l’indigestion.
Mais pourrait-il y avoir un enfer pour une innocente manie, qui se repaît d’elle-même et qui tourne à (...)