En réponse à :
25 août 2009, par Pacôme Thiellement
À Élie Kongs
Nous avons tous une dette envers Walter Benjamin. Nous avons tous une dette envers l’écrivain unique en qui les frontières de tous les genres d’écriture se sont effondrées, et les formes autorisées de l’expression - essai, conte, récit, aphorisme, thèse, article, traité - rétrécies, réduites à l’état de normes, non appliquées, mais étudiées. Tout essai de Benjamin dépose son genre. En désappliquant et en désoeuvrant la loi dont il est l’expression, il la transforme en vie. Et, bien sûr, nous avons (...)