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1er septembre 2008, par Montclair
Il fait silencieux, froid et blanc, et pourtant il y a des traces de souvenirs.
Celle qui, adossée aux affiches de couleur, regardait au hasard les passants : ces hommes qui marchent oubliés en eux-mêmes, un peu lâches, souvent pressés, mal conscients de ce qui leur advient.
Les rues sales de cette grande ville où l’histoire admirable côtoie la misère, où l’inégalité côtoie la compassion, où se croisent tant de peuples et tant de rêves distincts qui ne se rencontrent jamais.
Le temps où les petites (...)