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Chloé Dragna
Articles de cet auteur (5)
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21 septembre 2010, par Chloé Dragna
Advienne que pourra : la plage from Siegfried Bréger on Vimeo.
MOTIF :
Quelque part, dans un monde au-delà des mondes, un enfant joue au bord de la mer sous les yeux d’un vieillard qui porte le signe de l’Éternité et dirige la course des constellations. Ce n’est qu’un rêve de Kandrikov, modeste assistant de chimie ; mais des éléments de ce rêve s’immiscent, de plus en plus, dans son (…)
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29 septembre 2011, par Chloé Dragna,
Francesca Solari
ORACOLO est une lettre à Joachim Gatti, cinéaste qui, en juillet 2009, à Montreuil, pendant une manifestation, a perdu un œil sous l’impact d’un Flash-Ball tiré par la police. Le film est une suggestion poétique et invite à creuser l’absence, jusqu’à approcher, dans l’obscurité, le seuil de la vue intérieure. En empathie avec l’homme blessé, l’objectif explore le noir, interrogeant la limite (…)
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8 novembre 2010, par Chloé Dragna
"La poétique se fonde sur le paysage et l’illusion qu’entre le Latium et le Minettland, au Luxembourg, une symétrie existerait ! La géographie ainsi décrite ne vaut rien car il s’agit bien d’autre chose que la superposition d’image, il s’agit de destinée et de chemin."
Pierre et Jean Villemin
A propos des réalisateurs " (...) Les Villemins nous disent quelque chose de fondamental (…)
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6 janvier 2011, par Chloé Dragna
CLÉMENT COGITORE D’KONSCHTKËSCHT 01/2011 from d'kk on Vimeo.
Fin 2008 a débuté en Autriche une vente singulière : l’armée a mis aux enchères 146 miradors installés à la frontière de la Hongrie et de la Slovaquie. En 1989, après la chute du rideau de fer l’Autriche avait installé ces miradors pour lutter contre l’immigration clandestine au cours d’une opération militaire baptisée « (…)
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22 avril 2011, par Chloé Dragna
Dans Nageur un homme parcourt la Manche en quatorze heures. L’artiste suit le nageur dans ce pays frontière et filme l’immensité d’un espace au-delà de l’échelle du corps humain. La caméra attrape et fragmente les mouvements ponctués par la mer, capturant son inclinaison et arythmie, mélangeant un sentiment inévitable de mal de mer à la poétique d’espace. Comme si nous étions là.
Judith (…)