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25 novembre 2010, par Xavier Zimbardo
Pour les seize ans de mon fils Kristen
À toi mon ange d’amour,
de courage et de douceur,
mon fils loyal et droit.
Comme tous les enfants du monde,
tu m’as offert plus de leçons
que je n’ai de conseils à te rendre.
Maintenant tu es grand,
Petit homme…
Alors voici de l’or,
le seul qui vaille son pesant d’or :
le seul qui fasse garder le nord !
Si tu aimes la liberté,
il faudra (...)
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27 février 2012, par Xavier Zimbardo
L’hôpital Cognacq-Jay a confié au photographe Xavier Zimbardo la réalisation d’un triptyque photographique destiné au salon d’accueil de la chambre funéraire. A l’occasion de cette réalisation, l’établissement accueille simultanément, une exposition haute en couleur, qui constitue une invitation au voyage en Inde, à Cuba, aux Marquises à voir jusqu’au 21 mars 2012. A cette occasion, la revue des (...)
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7 septembre 2012, par Xavier Zimbardo
La revue des ressources vous propose durant 15 jours de découvrir le festival Photsoc, festival international de la photographie sociale qui se tient à Sarcelles du 14 au 23 septembre 2012. Pour cela nous avons demandé à des écrivains d’écrire autour de photographies de Franck Boucher, Franck Boutonnet, Bernard Ciancia, Nicolas Henry, Loïc Lautard, Guillaume J. Plisson, Jean-Manuel Simoes, Irène (...)
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24 avril 2006, par Xavier Zimbardo
Il faut tordre le cou à une certaine dérive de l’art contemporain qui le conduit dans une impasse.
Quand le mouvement dada a levé l’étendard de la rébellion, quand Marcel Duchamp a exposé son « Urinoir », c’était en réaction à la gigantesque boucherie de la Grande Guerre. « La guerre mondiale dada et pas de fin. La révolution dada et pas de commencement. » Il s’agissait de s’attaquer à tout ce qui (...)
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29 septembre 2005, par Xavier Zimbardo
C’est la nouvelle mode maintenant, ils tuent les artistes. Ça avait commencé avec les menaces contre Salman Rushdie. En Algérie, ils enlèvent des chanteurs et les exécutent, en Haïti ils ont battu un peintre à mort, lui ont broyé les testicules. Ils ne leur reprochent pas quelque chose en particulier, ils leur reprochent d’être. D’être vivants, joyeux, heureux, créateurs et libres, et de répandre autour (...)
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3 février 2010, par Xavier Zimbardo
Aimer est nécessaire...
Aimer Aimé Césaire...
Quatre ans s’écouleront après notre rencontre avant que tu ne meures... Je n’ai jamais voulu montrer ces photographies...
Quand nous les avons faites, ensemble, avec ton visage tellement vivant, avec ton âme toujours si grande et chaleureuse et accueillante, j’ai décidé que jamais elles ne seraient des images de charognard... Que jamais elles ne (...)
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12 février 2016, par Xavier Zimbardo
Il y a des gens comme ça, qu’on connaît ou qu’on croise…
Des visages tellement noyés d’un long chagrin qu’ils sont devenus le masque même de l’amertume. Des traits anéantis, où tout est effondré, exténué, dévasté, une bouche si affaissée qu’elle ne trouve plus que le menton pour la stopper dans sa chute et sa défaite, et des regards qui ficheraient le bourdon à une armée entière de cafards. Des yeux qui ne (...)
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24 décembre 2008, par Xavier Zimbardo
« Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques,
Vêtu de probité candide et de lin blanc (…) »
V. Hugo, « Booz endormi », La Légende des siècles
Dans le Figaro du 10 décembre : Le libéral Jean-Michel Fourgous a été sèchement repris quand il a proposé, après Bernard Accoyer, une « amnistie fiscale » pour rapatrier de l’étranger des capitaux. Résolument hostile à la suggestion de l’aile la plus (...)
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26 juillet 2012, par Xavier Zimbardo
En cette terre de légende il faudrait arriver comme en rêve, tel un oiseau depuis la mer, et mesurer l’espace... Hélas l’avion lui-même ne daigne plus qu’une fois par semaine s’arrêter en ce lieu jadis prestigieuse capitale et première ville française d’Afrique noire. Ici, tout au Nord du Sénégal, l’aéroport ne doit pas avoir beaucoup changé depuis que l’équipage Mermoz - Négrin y posa, sous les hourras de (...)
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6 juin 2005, par Xavier Zimbardo
Il s’agit ici d’une errance, d’un vagabondage pour essayer d’approcher des réponses, puisque je suis d’abord un vagabond qui crée entre les abîmes de mes joies et de mes souffrances. J’essaierai donc simplement de transmettre un peu de cette expérience et de la perception du monde que j’ai reçue au travers de ces pérégrinations.
Puisqu’il s’agit de la photographie en tant qu’art, je n’ai pas limité mes (...)