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19 septembre 2008, par Pacôme Thiellement
Les premières images de la mort sont semblables à de vieilles photographies jaunies. Des taches un peu graisseuses encombrent la vision et masquent la carte aux entournures. Une cabine téléphonique laisse tourner le message du répondeur : Je le déclare, vous êtes des dieux, vous vivrez comme des princes ; pourtant vous mourrez comme des porcs, je vous shooterais comme des chiens. C’est à vomir de mauvais goût ; leur bric-à-brac est d’un rococo déplacé et il fait froid. Les sempiternelles portes du (...)