- 30 novembre 2011, par Guy Debord
La société du spectacle est un film en noir et blanc de 1973 de Guy Debord basé sur son livre de 1967 du même nom. Il est le premier long métrage de Debord. Il utilise des images trouvées et détournées dans une critique radicale du marketing de masse et de son rôle dans l’aliénation de la société moderne.
Debord dit, en voix off, les thèses les plus significatives de son livre, sans le moindre ajout (...)
- 29 novembre 2011, par Guy Debord
Critique de la séparation est un moyen-métrage de 20 minutes (35 mm noir et blanc) réalisé par Guy Debord sorti en 1961. Les voix off sont dites par Caroline Rittener et Guy Debord.
Il s’agit d’un anti-film dont les images sont fréquemment des comics, des photographies d’identité, de journaux ou d’autres films, surchargées de sous-titres très difficiles à suivre en même temps que le commentaire. Le (...)
- 29 septembre 2011, par Chloé Dragna,
Francesca Solari
ORACOLO est une lettre à Joachim Gatti, cinéaste qui, en juillet 2009, à Montreuil, pendant une manifestation, a perdu un œil sous l’impact d’un Flash-Ball tiré par la police. Le film est une suggestion poétique et invite à creuser l’absence, jusqu’à approcher, dans l’obscurité, le seuil de la vue intérieure. En empathie avec l’homme blessé, l’objectif explore le noir, interrogeant la limite de la vision, (...)
- 9 septembre 2011, par Amélie Audiberti,
George Orwell,
Nigel Kneale,
Rudolph Cartier
Postamour - 10. On conclut cette thématique quinzomadaire en fausse clé de novlangue. Où est la réalité où est la fiction ? Après la fin de la guerre froide, la réunification de l’Allemagne célèbre la fin du monde dialectique. Le 9 novembre 1989 la traversée du mur de Berlin ouvre l’ère fraternelle terrienne dans une explosion de joie nationale et internationale à la gloire des organisations (...)
- 25 août 2011, par Kalucine,
Xavier Leton
Le jeu du monde se joue à travers les grandes puissances qui relient l’homme au monde — mythes et religion, poésie et art, politique, philosophie, sciences et techniques —, elles mêmes, mises en mouvement par les forces élémentaires : le langage et la pensée, le travail et la lutte, l’amour et la mort, ainsi que le jeu de l’homme qui est joueur, jouet et déjoué.
[...]
Le jeu du monde, Kostas Axelos, (...)
- 23 août 2011, par Jessica Resmond,
Xavier Leton
J’aime le désordre,
l’amour le crée.
[...]
Dans le monde de l’amour et de toutes les amours, la volonté est battue d’avance : plus nous voulons "quelque chose", plus elle se dérobe. La conscience de soi est illusoire. Les amours ne marchent que quand elles nous font marcher ; non pas quand nous voulons les faire aller.
[...]
L’errance érotique, Kostas Axelos, La Lettre Volée, 1992. Le « Tic (...)
- 20 août 2011, par IAAAI,
Xavier Leton
Je vous propose, _patience_ de IAAAI. Nous élargissons le cercle des relations en allant vers les villes.
VIRUS : STREET HACKER POETRY ARCTIONS IN PUBLIK SPACES
Ne vous laissez pas contaminer, vous l’êtes déjà...
Bonne vision, bonne lecture
« _Patience_ » est un film de « IAAAI », artiste vidéaste abordant la performance dans la réalité et sur le réseau distant.
Avec ce film je termine un (...)
- 19 août 2011, par Xavier Leton
je prends, à nouveau...
J’aime le désordre,
l’amour le crée.
[...]
« Chaque couple, quel qu’il soit, comporte un troisième personnage continuellement présent. [...] Avec ou sans ami de la femme, avec ou sans amie de l’homme, avec ou sans souvenirs écrasants, paternels ou maternels, avec ou sans enfants, avec ou sans nette perspective d’ouverture, les deux partenaires de chaque couple affrontent (...)
- 18 août 2011, par Philippe Castellin,
Xavier Leton
Ce matin une voiture brûlait au Petit Séminaire, c’était une « Golf », par manque d’ambition ? Le 30 août 2009, je publiais « Ferrari ». Aujourd’hui je le réédite, un « amour contre ».
« Ferrari » est une vidéo de Philippe Castellin. Ce film nous donne à voir une voiture brûlant sans fin, tandis qu’une voix nous dit les images que suscite la vue d’une Ferrari.
Philippe Castellin, auteur, performeur & (...)
- 17 août 2011, par Xavier Leton
L’amour du pouvoir à consommer.
« C’est ici »,
vous y êtes
La lente ascension du coq.
La chute du chien.
la lenteur du coq garantit
que jamais
rien ne change, ni de lieu, ni de temps. Patte après patte,
le minuscule « a_volatil »,
entame une marche immobile, nourrissant sa gloire, de la chaire à tuer et à vendre, de son impuissance à prendre son essor,
de son don à voler. (...)