Ana Maria Sandu – née en 1974 – a une licence de lettres (Université de Bucarest) et un Master de littérature roumaine contemporaine.
En 2003, elle publie Les Souvenirs d’un Chelbasan (Ed. Parelela 45), un poème épique remarqué par les jurys des prix littéraires les plus renommés.
En 2006, Ana Maria Sandu publie le roman, La Fille de la maison sans fin (Ed. Polirom – Collection Ego.Proza) – une histoire cruelle sur l’identité et le destin. Trois histoires alternatives, pour une même histoire d’amour, dans la Roumanie des années 70.
La Fille de la maison sans fin fait partie des romans ayant obtenu les meilleures critiques de l’année. En 2007, Ana Maria Sandu a été le premier écrivain roumain à participer à l’International First Novel Festival Budapest (invitée par l’Institut culturel roumain de Budapest) aux côtés de 12 autres écrivains européens.
Elle écrit également des essais et des critiques pour les revues : Vineri, Dilema, Cosmopolitan, Atitudini, Noua Literatura, Glamour. Elle est actuellement rédactrice en chef de Re:publik, revue de films, de musique et de culture urbaine.
L’écorchure est son premier livre traduit en français, en cours de publication aux éditions du Chemin de fer (18 mars 2010).
(http://www.chemindefer.org/)
Ana Maria Sandu a publié en Roumanie trois ouvrages :
Din amintirile unui Chelbasan (L’écorchure), 2003.
Fata din casa vagon, 2006.
Omoara-ma, 2010.
Elle sera au Salon du livre de Paris les 27 et 28 mars 2010.