Comme Vassili Golovanov et Andreï Baldine, Vladislav Otrochenko, né en 1959 à Novotcherkask (Russie méridionale), fait partie des quinquagénaires russes introduits depuis peu sur la scène littéraire française. Leurs points communs ? Des fictions qui ne cherchent pas le roman, des essais creusant la part fictionnelle de l’expérience. Et aussi le choix de lieux alternatifs de vie et de création (…)