Les funérariums se construisent en bordure des zones industrielles.
L’université adossée au multiplexe.
On se restaure sur le terre-plein des échangeurs.
La faillite des boutiques alimente les rayons discount.
Nos marges se réduisent.
Et du centre-ville j’emprunte la navette qui m’amène à la gare ferroviaire.
La pelouse du stade a poussé entre les barres de tours. (…)