Maître de conférences à l’Institut national de langues et civilisations orientales (Inalco), Doan Cam Thi a publié Écrire le Vietnam contemporain. Guerre, corps, littérature (Presses de l’Université Paris Sorbonne, 2010), Au rez-de chaussée du paradis. Récits vietnamiens 1991-2003 (Philippe Picquier, 2005), Poétique de la mobilité. Les lieux dans Histoire de ma vie de George Sand (Rodopi, 2000). Elle a traduit en vietnamien La Douleur de Marguerite Duras (Hanoi, Les Éditions des Femmes, 1999), en français L’Embarcadère des femmes sans mari de Duong Huong (Aube, 2002) et Chinatown de Thuân (Le Seuil, 2009). Doan Cam Thi est lauréate du prix « Le mot d’or de la traduction 2005 » (Unesco – AIF – Société française des traducteurs).