LES POÈMES ARRANGÉS (Le fils du muet n’a pas la parole)
Version 8 — extraits . Cette poésie parle de ce qui est en lisière, de ce qui peut être vu depuis un refuge du point de vue d’un être indéfini, caché, par besoin, par survie Son refuge est une forêt dans laquelle il enfouit sa vie Dans laquelle il s’enfuit De laquelle il ne peut s’enfuir vraiment Alors il longe ce qui le sépare des (...)
6000 mots . . . . . . Photographie en frontispice de Emmanuel Holterbach . . . . . . CINQUIÈME SÉRIE — Verticale de l’est 10 poèmes
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SIXIÈME SÉRIE — Le regard, l’écoute, la flèche 11 poèmes 6000 mots 3/3 6000 mots - série 1/3 6000 mots - série 2/3 Quand tu es intense le mot jaillit quand tu dois tâtonner vers le mot c’est le mot qui donne forme (...)
6000 mots . . . . . . Photographie en frontispice de Emmanuel Holterbach . . . . . . TROISIÈME SÉRIE — L’épine 8 poèmes
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QUATRIÈME SÉRIE — Nature de l’eau 10 poèmes 6000 mots 2/3 6000 mots - série 1/3 6000 mots - série 3/3 Quand tu es intense le mot jaillit quand tu dois tâtonner vers le mot c’est le mot qui donne forme et consistance à ce dont (...)
6000 mots . . . . . . Photographie en frontispice de Emmanuel Holterbach . . . . . . PREMIÈRE SÉRIE — Feu et forme 7 poèmes
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SECONDE SÉRIE — Le proche et le lointain 7 poèmes 6000 mots 1/3 6000 mots - série 2/3 6000 mots - série 3/3 Quand tu es intense le mot jaillit quand tu dois tâtonner vers le mot c’est le mot qui donne forme et (...)
Journal de Solange Rebuzzi (suite 4) ✧. . . Journal, 6.05.2022 La tasse et le bateau
Dans la marée du mois de mai l’étoile blanche embrasse le sable Le mot marche et résiste Les coins des rues pleinement aveugles
Et le bateau en haute mer plane comme la grande voile attrayante Tandis que les lettres flottent dans la chaleur de la tasse ardente
embrassent bien plus que le jour Le (...)
nous sommes devenus cannibales quand la mer s’est remplie de cadavres (de début 2014 à fin 2021 l’organisation internationale pour les migrations (ONU) a dénombré 22000 disparus en mer Méditerranée)
il y a un paysage vous le voyez il y a un paysage qu’on voit que vous pouvez voir si vous… un paysage, ce qu’on voit, ce que vous voyez et vous savez que vous le voyez en rêve en conscience quand... (...)
un arbre a quatre champs
le vide du poète
le vent des cloches
les s(s) et les n(s) doublés
des courants et des ailes
de mots à être dits ;
un pétale dans les cieux oubliés des voyelles ?
Dominique Fourcade a lu des vers
au Centre Georges Pompidou
des poèmes écrits à partir d’une photographie :
un Américain et un Iraquien
(j’ai appris que Juan Miró a peint
des tableaux à (...)
Journal de Solange Rebuzzi (suite 3) ✧. . . Rio de Janeiro, 17.1.2022
Vieux film
Je me rappelle bien ce jour de fête. Si joyeux et entouré de musique, même si loin il porte encore tant de noblesse. Et il y avait un certain mystère dans cette fête-là de rare beauté, où nous étions les comédiens. Si nombreux sont les morceaux de mémoire. Nous dansons peu. Rions trop. Les photos en noir & (...)
Journal de Solange Rebuzzi (suite — 2) ✧. . . Journal du 23.10.2021 Vivre le subit et le rapide Plus l’instant est réel plus je souffle. La force brève légère le sol nécessaire. Lignes de géographie véloces. Et l’odeur unique emplie de lumière qu’elle soit papier ou flammes
envahit les murs lettres livres lamentations. Parce qu’il y a un poème
(et la terre qui le soutient) (...)
LE LIVRE DES FALAISES Postface de Bruno Roche Éditions papier Les presses du réel — Automne 2022. 4/4 - (vers 1/4 ; vers 2/4 ; vers 3/4) ☆ Septième (et dernier) cahier — Pratique sauvage 20 poèmes ☆ Le livre des falaises Photographie en frontispice de Adèle Marchetti Septième cahier PRATIQUE SAUVAGE . . « Les mots sont nécessaires, mais vous ne (...)