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10 octobre 2015, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
II. LE VOYAGE A TANGER
Vincent, Dalilah, Banquier, Croupier, Directeur des jeux, Vieux.
1. Vincent et Dalilah
2. Dalilah dans le souk
Note : Baccara (le jeu)
Le Voyage à Tanger — 1. Vincent et Dalilah
De lourds conditionneurs encombrent le haut des fenêtres, partiellement masquées par des rideaux. Sous d’antiques ventilateurs, qui ne tournent plus, une fo
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17 octobre 2015, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
III. LE RETOUR DE TANGER
Vincent, Pilote, Quinquagénaire, Michel, Fred (Off), Dalilah, Panama, Barmaid.
3. Le départ de Vincent
4. Dalilah sur « L’Agadir »
5. Vincent à Ibiza
6. Copier la Camargue par cibi depuis depuis Ibiza
Note : L’« Agadir »
Le Retour de Tanger — 3. Le départ de Vincent
Un Beachcraft décolle de l’aérodrome. Le vrombissement du (…)
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13 juillet 2009, par Aliette G. Certhoux,
Stéphane Gatti
Voici la lettre de "La Parole Errante" signée par Stéphane Gatti, père de Joachim Gatti, qui est aussi le petit-fils aîné du dramaturge et poète Armand Gatti, avec prière de largement diffuser, contre la désinformation par l’AFP et par la Presse ("Libération" le premier, et pour ne pas nommer de journal qui n’aurait à ce jour rien publié encore, reprend de façon douteuse les informations (…)
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9 juillet 2012, par Aliette G. Certhoux
L’année 2010 est le centenaire de l’hommage qu’André Gide rendit à Charles-Louis Philippe après sa disparition, — dès les mois de janvier et février suivant sa mort, — avec l’opus 14 de La Nouvelle Revue Française. Cet opus réédité en 2009, présente les références incontournables d’un premier contact avec la biographie de Charles-Louis Philippe et des principaux auteurs qu’il intéressait (…)
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9 avril 2012, par Aliette G. Certhoux
Soyons naïfs mais incrédules. Garder le sens de l’émerveillement ce n’est pas croire, c’est aimer vivre et jouer parmi le monde, sans en être personnellement dupes ni imprudents pour les autres. Nous avons ceci de fabuleux que nous puissions nous livrer entièrement à l’instant et en revenir dans l’instant suivant, c’est le concept même du temps. La semaine dernière le journal Le Monde nous (…)
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18 avril 2013, par Léon-Paul Fargue,
Aliette G. Certhoux
C’est en 1906, après le déboire du prix Goncourt, que Philippe entreprit d’écrire Charles Blanchard. Il répétait volontiers alors : Des romans ? Non, ce n’est pas cela que je veux faire, on arrange toujours un peu l’intrigue et le reste en vue du livre à 3fr 50. Je ne veux plus y songer ; et, du reste, pour ce que le "livre" vous rapporte ! Non ; j’écrirai désormais sans souci de la (…)
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2 août 2011, par Aliette G. Certhoux
Criticalsecret.net réapparaît non plus en logz collectif mais en blog éditorial de www.criticalsecret.com dans un squelette basique en SPIP. Dans la perspective des concepts thématiques de criticalsecret www.criticalsecret.net fera un examen de quelques nouvelles sélectionnées en temps réel et indexera les informations sur les actes et les archives de criticalsecret (inclus (…)
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26 juillet 2009, par Aliette G. Certhoux
Orphée désenchanté ou le Pop cinéma contre la Télé-réalité
Yann Gonzalez, l’auteur et réalisateur du premier film d’acteur de Julien Doré, Les astres noirs, s’est livré à un journaliste à propos du scénario ; il s’agit de sa libre adaptation de la légende du joueur de flûte de Hamelin par les frères Grimm. C’est une légende non un conte, car elle déplace dans un univers imaginaire un (…)
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2 mai 2005, par Aliette G. Certhoux
Ce jour encore il parle au présent. Qu’est le passé dans la nuit du chaos ?
L’avenir dans l’épuisement ? il ne sait plus. Un mètre carré autour de lui dans la brume ensoleillée de Hyde Park représente tout ce qu’il peut appréhender : voir.... Entendre au loin il peut. Mais restant immobile. Toucher il ne peut sauf lui-même : l’idée que son corps ne pourrait supporter un déplacement au-delà (…)
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2 août 2010, par Aliette G. Certhoux
En août, on cuit les carottes sur le grill à la belle étoile.
Dédicace à Aimé Césaire.
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D’abord ///
Quand nos amis festivaliers ont quitté Paris en été pourtant la ville est tendre aux sens des flâneurs dans la tiédeur du soir aux terrasses, sous l’azur transparent du bleu pommelé, intense après le couchant... Des quelques euros nécessaires, — plutôt (…)