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7 novembre 2015, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
VI. L’ANTRE D’ALICE
(à Sète, en été)
Dalilah, Barman (Pedro)
12. L’arrière-boutique
13. L’échange impossible
VII. LE MONT SAINT CLAIR
Dalilah
14. Plus haut
Le Petit Navire — 12. L’arrière-boutique
Dalilah entre, de l’autre côté du miroir. Le Barman ferme la porte puis laisse retomber les lamelles multicolores.
L’arrière-boutique constitue (…)
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28 novembre 2012, par Aliette G. Certhoux
À Nelson Mandela Un jour avant le vote sur le statut palestinien d’État non-membre observateur de l’ONU, la France soutient[[Ce n’est pas un changement d’attitude car dès l’été dernier le gouvernement français récemment élu était consulté par les officiels palestiniens représentatifs de ce projet et avait fait savoir qu’il approuverait la proposition d’Abbas à l’ONU. Ce qui au contraire (…)
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31 octobre 2011, par Aliette G. Certhoux
TRAVAIL EN COURS DE CHANTIER - MERCI DE VOTRE COMPRÉHENSION FACE AU DÉSORDRE DE LA CONSTRUCTION ACCUMULANT UNE SOMME DE NOTES ET DE RÉFLEXIONS DE PREMIER JET.
Merci de ne pas imputer ce synopsis critique et le bilan provisoire de cet article aux Meeropol Rosenberg ni à Wendy Johnson. Tous les propos de ce texte n’engagent que leur auteur.
Résumé et questions de principe :
In 1942 (…)
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22 janvier 2016, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
VIII. LA GARE FERROVIAIRE DE SÈTE
Dalilah, Barman (Pedro), Zip
15. On se connaît
16. Tout le monde se connaît
IX. LA PLACE À QUAI DU PAQUEBOT-ÉCOLE
Dalilah, Barman (Pedro)
17. Un grand vide
La gare ferroviaire de Sète — 15. On se connaît
Au buffet de la gare, un marin en tenue d’été de la marine nationale (sans doute en permission) s’acharne sur (…)
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10 octobre 2015, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
II. LE VOYAGE A TANGER
Vincent, Dalilah, Banquier, Croupier, Directeur des jeux, Vieux.
1. Vincent et Dalilah
2. Dalilah dans le souk
Note : Baccara (le jeu)
Le Voyage à Tanger — 1. Vincent et Dalilah
De lourds conditionneurs encombrent le haut des fenêtres, partiellement masquées par des rideaux. Sous d’antiques ventilateurs, qui ne tournent plus, une fo
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25 mai 2011, par Aliette G. Certhoux
DÉDICACE. Comment nous nous sommes connus ? C’était à Vincennes, au Comité de base. Ce que nous avions de différent des autres, c’étaient les enfants. Nous avions chacun un enfant. Jean-Paul et Claudie — Je dis son nom parce que Jean-Paul l’a publié en exergue de deux de ses livres, — avaient un fils et mon compagnon et moi, déjà mariés, nous avions un fils. Mais ni Claudie ni mon compagnon — (…)
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21 novembre 2007, par Aliette G. Certhoux
L’INCROYABLE ET LE MERVEILLEUX LIVRE QUI S’OUVRE DE LUI-MÊME : OU LE CASSE-TÊTE DE L’IVRE « HACKULTURATION »*
Abstract
Hackulturation, hackculture, c’est à la fois la crise iconoclaste et symbolique de la culture, où la figure de rhétorique viatique n’en serait pas une mais le paradoxe, à tous les niveaux de l’expérience, de la connaissance de la technique et de son ignorance, et de (…)
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12 décembre 2013, par Aliette G. Certhoux,
Daniel Guibert
Le cristal se venge... Pire serait la bêtise des pouvoirs mieux renaîtrait la pensée piétinée ?
La philosophie est-elle un jeu dans la société actuelle ? « Volonté de puissance et retour du Même » : si telle est votre lecture de Nietzsche selon laquelle surgit le greffon d’un « surhomme » dans sa philosophie, par d’étranges manipulations (pas toutes posthumes), alors vous devez retourner à (…)
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2 mai 2005, par Aliette G. Certhoux
Ce jour encore il parle au présent. Qu’est le passé dans la nuit du chaos ?
L’avenir dans l’épuisement ? il ne sait plus. Un mètre carré autour de lui dans la brume ensoleillée de Hyde Park représente tout ce qu’il peut appréhender : voir.... Entendre au loin il peut. Mais restant immobile. Toucher il ne peut sauf lui-même : l’idée que son corps ne pourrait supporter un déplacement au-delà (…)
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26 juillet 2009, par Aliette G. Certhoux
Fin de vie
Il revient à ma mémoire des souvenirs familiers. Je revois ma blouse noire lorsque j’étais écolier. Sur le chemin de l’école je chantais, à pleine voix, des romances sans paroles. Vieilles chansons d’autrefois... "Douce France ! Cher pays de mon enfance, bercée de tendre insouciance — je t’ai gardée dans mon cœur !" Mon village au clocher, aux maisons sages, où les enfants de mon (…)