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20 décembre 2014, par Aliette G. Certhoux,
Corinne Bonnet,
Olivia Clavel,
Pacôme Thiellement
Corinne Bonnet accueille Olivia Clavel pour une exposition exceptionnelle de peintures et d’encres sur toile et sur carton, comprenant entre autre un cycle inédit en petits formats au punctum de miniatures. C’est à la galerie Dufay-Bonnet, Cité artisanale, 63 rue Daguerre à Paris XIVe. Du 19 décembre 2014 au 24 janvier 2015 — voir les horaires dans le site www.dufaybonnet.com
Enfin Jung ! (…)
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25 mai 2011, par Aliette G. Certhoux
DÉDICACE. Comment nous nous sommes connus ? C’était à Vincennes, au Comité de base. Ce que nous avions de différent des autres, c’étaient les enfants. Nous avions chacun un enfant. Jean-Paul et Claudie — Je dis son nom parce que Jean-Paul l’a publié en exergue de deux de ses livres, — avaient un fils et mon compagnon et moi, déjà mariés, nous avions un fils. Mais ni Claudie ni mon compagnon — (…)
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9 juillet 2012, par Aliette G. Certhoux
L’année 2010 est le centenaire de l’hommage qu’André Gide rendit à Charles-Louis Philippe après sa disparition, — dès les mois de janvier et février suivant sa mort, — avec l’opus 14 de La Nouvelle Revue Française. Cet opus réédité en 2009, présente les références incontournables d’un premier contact avec la biographie de Charles-Louis Philippe et des principaux auteurs qu’il intéressait (…)
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7 novembre 2010, par Aliette G. Certhoux
5-6 novembre 2010. Il y a un an... .
L’hommage « Mort de Jacno / Non mort de Jacno » est dédié à sa fille, née d’Elli Medeiros, la chanteuse compositrice Calypso Gallois.
JACNO (3 juillet 1957, 5-6 novembre 2009).
Moins de deux semaines après sa disparition, l’hommage de la Presse à l’artiste et la communication commerciale de ses productions dans tous les sites de vente en ligne, (…)
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21 juillet 2010, par Aliette G. Certhoux
1 MAI 2009 : PASSAGE DU CHAT DE CHESTER ÉVIDEMMENT EN CONCLUSION. À propos de L’esprit du nihilisme : Une ontologique de l’Histoire, de Mehdi Belhaj Kacem ; collection "Ouvertures", éditions Fayard, Paris ; mars 2009.
Avertissement : Dans le cadre de la rubrique "Carte blanche", cet essai a donné lieu à la performance expérimentale publique de son évolution vers sa version définitive, en (…)
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12 décembre 2013, par Aliette G. Certhoux,
Daniel Guibert
Le cristal se venge... Pire serait la bêtise des pouvoirs mieux renaîtrait la pensée piétinée ?
La philosophie est-elle un jeu dans la société actuelle ? « Volonté de puissance et retour du Même » : si telle est votre lecture de Nietzsche selon laquelle surgit le greffon d’un « surhomme » dans sa philosophie, par d’étranges manipulations (pas toutes posthumes), alors vous devez retourner à (…)
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13 juillet 2009, par Aliette G. Certhoux,
Stéphane Gatti
Voici la lettre de "La Parole Errante" signée par Stéphane Gatti, père de Joachim Gatti, qui est aussi le petit-fils aîné du dramaturge et poète Armand Gatti, avec prière de largement diffuser, contre la désinformation par l’AFP et par la Presse ("Libération" le premier, et pour ne pas nommer de journal qui n’aurait à ce jour rien publié encore, reprend de façon douteuse les informations (…)
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12 septembre 2010, par Aliette G. Certhoux
L’article est une recension non exhaustive et forcément subjective et lacunaire (présentation d’excuses aux protagonistes qui s’en trouveraient blessés) des actes du programme publié dans le site de la parole errante, manifestation à laquelle nous avons assisté :
LES ROMS ET QUI D’AUTRE ?
Rassemblement contre le racisme d’État...
Samedi 11 septembre 2010 à partir de 13h30
Maison (…)
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7 novembre 2015, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
VI. L’ANTRE D’ALICE
(à Sète, en été)
Dalilah, Barman (Pedro)
12. L’arrière-boutique
13. L’échange impossible
VII. LE MONT SAINT CLAIR
Dalilah
14. Plus haut
Le Petit Navire — 12. L’arrière-boutique
Dalilah entre, de l’autre côté du miroir. Le Barman ferme la porte puis laisse retomber les lamelles multicolores.
L’arrière-boutique constitue (…)
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4 juillet 2015, par Aliette G. Certhoux
Quand le lyrisme du mal circule à travers la structure évolutive d’un roman, ou d’une nouvelle, alors il devient organique — il monte en puissance de façon subliminale puis advient en nécessité esthétique. C’est la sublimation du mal. Cela peut concerner le meurtre, la maladie, le jeu et toutes sortes de désirs destructeurs ou auto-destructeurs, ou de prédations, à propos desquels la liberté (…)