Accueil > Les auteurs >
Marcel Schwob
Articles de cet auteur (15)
-
2004, par Marcel Schwob
LAING (Samuel). The Heimskringla ; or, Chronicle of the Kings of Norway translated from the Icelandic of Snorro Sturles, on with a preliminary dissertation... London, 1844, 3 vol. in-8 toile.
La PRACTICQUE ET ENCHIRIDION DES CAUSES criminelles, illustrée par plusieurs élégantes figures, rédigée en escript par Josse de Damhoudere docteur es droictz, Conseillier & commis des domaine & (…)
-
23 novembre 2011, par Marcel Schwob ,
Thomas de Quincey
L’essai « culte » de Thomas de Quincey The Last Days Of Immanuel Kant, écrit et publié dans un magazine en 1827 et remanié en 1854, pour être intégré au recueil de l’auteur Selections Grave and Gay, a ceci de remarquable et de visionnaire, concernant la forme littéraire, qu’il soit à la fois une poétique fiction, un tombeau, critique du philosophe Emmanuel Kant — que néanmoins il admire — et (…)
-
13 janvier 2005, par Marcel Schwob
J’ai couché une fois dans une maison hantée. Je n’ose pas trop raconter cette histoire, parce que je suis persuadé que personne ne la croira. Très certainement cette maison était hantée, mais rien ne s’y passait comme dans les maisons hantées. Ce n’était pas un château vermoulu perché sur une colline boisée au bord d’un précipice ténébreux. Elle n’avait pas été abandonnée depuis plusieurs (…)
-
30 août 2009, par Marcel Schwob
Je trouvai sur ma table, en rentrant, une invitation du Cercle Spirite. Nous avions joué au poker, et il était très tard. Néanmoins je fus tenté par la curiosité ; le programme annonçait un spectacle distingué, une évocation surprenante d’esprits. Il me passa par la tête l’envie de causer avec une demi-douzaine de célébrités disparues. Je n’avais jamais vu de séance spirite, et je n’étais pas (…)
-
novembre 2002, par Marcel Schwob
Cecco Angiolieri naquit haineux à Sienne, le même jour que Dante Alighieri à Florence. Son père, enrichi dans le commerce des laines, inclinait vers l’Empire. Dès l’enfance, Cecco fut jaloux des grands, les méprisa, et marmotta des oraisons. Beaucoup de nobles ne voulaient plus se soumettre au Pape. Cependant, les ghibellins avaient cédé. Mais parmi les guelfes mêmes, il y avait les Blancs et (…)