Henry Miller lit ici un extrait de son livre, qui est l’un des plus vigoureux chant d’amour à la Gréquitude et à la Grécité. Nous sommes à la veille de la Seconde Guerre mondiale et Durrel accompagne l’auteur dans son enthousiaste balade. Miller, à partir de cette osmose qui baigne tout le livre, restera dès lors fidèle à la Grèce, à son ciel profond et à ses flots étincelants.