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21 décembre 2007, par Honoré de Balzac
Laissons le vin aux indigents. Son ivresse grossière trouble l’organisme, sans payer par de grands plaisirs le dégât qu’il fait dans le logis. Cependant, pris modérément, cette imagination liquide a des effets qui ne manquent pas de charme ; car il ne faut pas plus calomnier le vin que médire de son prochain. Pour mon compte, je lui dois de la reconnaissance. Une fois dans ma vie, j’ai connu les joies de cette divinité vulgaire.
Permettez-moi cette digression ; elle vous rappellera peut-être une (...)