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31 juillet 2010, par Nicolas Boldych
J’ai commencé mes voyages, mes rondes, mes tours, en Macédoine par l’Ouest, parce que Tetovo est toute proche, parce que c’est l’Autre ville où on ne peut manquer d’aller quand on est étranger et qu’on tient à voir les deux aspects de la Macédoine, ces deux visages, slave et albanais, parce que là résidait aussi un de mes collègues de travail, David devenu par la suite peu à peu tétovien, ce qui se traduisait chez lui par une sorte de nonchalance rusée et aristocratique. Mais c’est la route du Sud que j’ai (...)