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14 janvier 2011, par Sebastien Ayreault
La faute à Kerouac si j’ai commencé à dévorer les livres. La faute à Kerouac si je me suis mis dans la tête d’en écrire. La faute à Kerouac si je me suis retrouvé par un beau matin le cul sur le trottoir, sans un rond et le ciel bleu planté dans le dos. Les hirondelles à vol d’oiseaux. On ne vit pas des mots.
Avant la route, y’avait toute cette vie dont ne personne ne veut, celle qui ne fait pas rêver - et pourtant comment qu’on se bat, comment qu’on sue pour la gagner - celle qu’on recrache en sortant de (...)