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28 mai 2003, par Robin Hunzinger
Calvaires, maisons de bois, terres lourdes, villages sans passants, volets fermés. J’ai vu tout à coup certains d’entre eux comme des décors sans vie, vides à l’intérieur. Morts.
En regardant un livre composé de cartes postales et de photos du début du siècle, montrant les mêmes paysages mais avec une vie aujourd’hui disparue, je pense aux Vosges. La différence : ici dans la champagne humide rien n’a bougé.
Je prends la route. Juste quelques fermes, des animaux, l’odeur des étables tôt le matin (...)