En réponse à :
25 février 2011, par Clément Bulle
« Les éditeurs, singulièrement les petits, n’ont plus la possibilité de lire tout ce qu’ils reçoivent. La publication sur le réseau offre à certains une solution de remplacement, qui n’est guère satisfaisante dans l’état actuel des choses. » Il est vrai que l’édition en ligne prend parfois l’aspect, quand ce n’est pas celui d’une escroquerie commune à certains services d’auto-édition « papier », celui d’une industrie de recyclage des innombrables manuscrits rejetés du circuit classique. Le refuge des (...)